Notre idée, nos valeursLes producteursNous trouverActus

Ferme de Hyars

Né à Hyars près de Flavin, Jehan suit ses études agricoles au lycée d’Auzeville près de Toulouse. En 2012, il s’installe sur l’exploitation familiale alors en agriculture biologique. Marie, sa soeur, après avoir travaillé plusieurs années en tant qu'infirmière, le rejoint fin 2023.

Ils cultivent :

  • des céréales panifiables (blé, sarrasin, petit épeautre) sur 30 hectares
  • des légumineuses (10 hectares de lentilles et 5 hectares de pois chiches)

Ils transforment : 

  • en farines : blé, pois chiches, sarrasin, petit épeautre.
  • des pois chiche en bocaux au naturel et du houmous

Ils élèvent aussi 35 vaches allaitantes qu'ils commercialisent via une coopérative.

La Belle Verte

Manou et sa compagne Eva ont suivi des études en sciences humaines, elle à Toulouse et lui en Espagne. Après quelques années passées à l'autre bout du monde, en Polynésie française, là où ils ont découvert le plaisir du travail de la terre et de l'autonomie alimentaire, ils décident de faire du maraîchage leur métier. Ils rentrent en Aveyron, terre natale d’Eva, et entament leur projet.

La Belle Verte est née en 2018, lorsqu'ils trouvent du foncier au Vibal. Aujourd’hui, les jardins de la Belle Verte sont installés sur  de 2 hectares, avec un peu plus d’1 hectare cultivé, dont 1 100m² sous abri. Même si à 750m d'altitude les conditions ne sont pas toujours parfaites pour le maraîchage, Eva & Manou proposent des légumes diversifiés toute l'année : salade, mâche, épinard, blette, pois, haricot vert, carotte, poireau, courge (potimarron, butternut, etc.) tomate, aubergine, poivron... bref, la liste est longue !

La ferme de La Garde

Après des études dans l'architecture puis le bâtiment, Jean-Rémi a débuté son expérience professionnelle en tant qu'expert sinistre en bâtiment pour les assureurs. Après 10 ans de bons services, un besoin de retour aux sources et l'appel de la terre et de ses racines l'a conduit à reprendre l'exploitation familiale en janvier 2020 après l'obtention de son BPREA.

La ferme de Lagarde est constituée de Jocelyne sa maman, René son papa et de Jean-Rémi.

Elle produit des légumes de plein champ et de la viande bovine, sur un parcellaire de type Ségala à Baraqueville sur 60 hectares dont 30 hectares en propriété.

La production de légumes sur environ 2,5 hectares se décompose comme suit :

  • 1,5 hectare est consacré à la production de pommes de terreavec 9 variétés.
  • 1 hectare est consacré à la production d'oignons et carottes principalement ainsi que patate douce, poireaux et courges...

Beaucoup de tâches sont mécanisées ou en cours de mécanisation sauf le désherbage des carottes ! Et c'est beaucoup de temps passé !

Jean-Rémi est aussi un passionné de rugby ! Après près de 20 ans passés auprès du ballon ovale au sein du club local d'LSA, il a quitté les terrains et raccroché les crampons pour se consacrer pleinement à son nouveau métier de paysan.

Voir le site : ici

Les Épis du Terral

Laure et Mickaël Frayssinet sont installés dans le hameau "Le Terral" à Flavin. Le début de l’histoire remonte à 2015 : lors d’un reportage à la télévision sur les blés anciens et le métier d’un paysan boulanger, Laure et Mickaël ont le déclic ! A ce moment-là, Laure est salariée dans les assurances et Mickaël est salarié boulanger. Ils commencent alors à faire des recherches sur la culture et multiplication de variétés anciennes de blé tendre.

Suite au départ à la retraite des parents de Laure, ils décident de reprendre la ferme familiale et crée un Gaec en novembre 2018. La ferme comprend alors un élevage de vaches à viande sur 38 hectares. En avril 2019, le fournil voit le jour et ils commencent à transformer leur récolte de blés anciens en pain. 

Aujourd’hui le Gaec se compose d’une partie meunerie-boulangerie et d’une partie élevage de bovins viande commercialisés en circuits longs principalement avec quelques colis de viande vendus en direct.


Ferme de Bellevue

Antoine a obtenu un bac STAV et un BTS agroalimentaire au lycée La Roque à Onet-le-Château puis un Certificat de Spécialisation en production fermière laitière à Aurillac. Il a été un temps salarié chez Jehan de Bancarel (producteur et associé à Boxaqui!) avant de s'installer  sur l'exploitation familiale avec son père, Jean-Michel, en 2021. Et c'est une véritable histoire de famille puisque depuis 4 générations la passion de l'agriculture coule dans les veines de la famille Alric. 

Antoine et son père veillent sur 40 vaches à la traite. Ils transforment une partie de leur lait, l'autre partie est vendue en coopérative. Pour l'instant, ils produisent un bleu, une tome et du fromage à raclette... le tout en agriculture biologique évidemment !

Ferme du Froncalou

Dans un premier temps, c'est Ismaëlle qui reprend la ferme, puis Grégory la rejoint en 2019. Tous deux élèvent alors 50 vaches laitières à Canet-de-Salars en agriculture biologique.

Leur idée : fabriquer des produits laitiers, ceci afin de compléter leur revenu. En 2019, l'atelier de fabrication est mis en service et à ce jour, ils fabriquent : yaourts (nature et aromatisés) et petits suisses, crème fraîche, skyr, etc.

Le tout avec des ingrédients naturels : du bon lait de vache élevées au grand air et à la bonne herbe du Lévezou et des ferments ! 

La ferme de Cabrol

La ferme est composée des parents Pierre et Marie Pierre, Clémence, Anthony et Estelle leurs enfants, Antonin le mari de Clémence. Ils élèvent des veaux (sous le label Veau d'Aveyron et du Ségala), des cochons et des volailles, elle a débuté l'élevage des cochons il y a deux ans.

Les cochons arrivent à la ferme à 25 kg, ils sont achetés chez Pomiès (naisseur-revendeur). Il s'agit de races Large White et Duroc, en croisements. Ils sont ensuite élevés sur des aires paillées totalement ouvertes, à l'air libre :il y a une partie paillée pour le couchage et une partie d'exercice pour le nourrissage et les déjections. Les porcs sont élevés dans des conditions proches de leur milieu naturel. Contrairement à ce que l'on pourrait croire, on observe qu'ils sont très propres ! Toutes les déjections se font au même endroit tandis que l'aire paillée est réservée au couchage. Ces bonnes conditions d'élevage font qu'ils n'ont pas de pathologies particulières et une mortalité très faible. La surface par cochon est de 4 m² par animal(contre 0,80 m² en élevage industriel). En moyenne, selon leur taille, les lots se composent de 15 animaux pour 50 m².

Leur alimentation est à base de méteil, un mélange de céréales et de légumineuses composé de blé, orge, avoine, pois, vesce et féverole, produit entièrement sur l'exploitation et réduit sous forme de farine.Ils sont complémentés pour de la ration avec du complémentaire (entre 15% et 20%). L'objectif de l'exploitation est d'être totalement autonome pour l'alimentation.

Les cochons sont abattus entre 140 kg et 200 kg selon les débouchés. Pour Boxaqui, ils pèsent 180 kg. L'exploitation est engagée dans la démarche HVE (Haute Valeur Environnementale), toutes les eaux de toiture sont récupérées sur l'exploitation.

Voir le site : ici

Ferme de Vialaret

La Ferme du Vialaret existe depuis 1987. A l'origine, ce sont des couples d'amis qui se sont installés : Jean-Paul, Claude, André, Bernadette et Yolande. Ils ont alors développé la production de poulets et de lapins angora. Très tôt, ils ont été soucieux de maîtriser la chaîne de production jusqu'à la vente de leurs produits. Ainsi, en 1993, ils construisent un bâtiment dédié à l'abattage et à la transformation des poulets.

Aujourd'hui, Claude et Bernadette sont partis à la retraite et la ferme a stoppé la production de lapins angora. Caroline est venue s'installer sur la ferme en 2014 et depuis 2 ans Tony et Jérôme ont rejoint l'aventure : Jérôme est un ancien boucher et Tony est le fils de Yolande.

La ferme du Vialaret est ainsi composée de Yolande, Tony, Jérôme et Caroline. Avec leurs 26 hectares, ils élèvent agneaux, poules pondeuses, cochons et volailles, avec un mode de production à "croissance lente" (abattage à 4,5 à 6 mois pour les volailles, 21 mois pour les cochons,...).

GAEC de Montredon

Lionel, Christophe et Géraldine forment le trio du Gaec de Montredon. En 1997, le papa de Lionel et Géraldine, installé en bovin viande, convertit sa ferme à l’agriculture biologique. Il est alors à contrecourant, le premier convaincu par la pertinence de la démarche ! 

En 2001, il démarre la production de pommes de terre et en 2004, son fils Lionel le rejoint sur la ferme pour créer le Gaec de Montredon. En 2012, Géraldine, avec son diplôme d’herboriste et cuisinière de formation, rejoint le Gaec et crée son activité de plantes médicinales et aromatiques. Christophe, alors sommelier et cuisinier de formation, les rejoint en 2014 et crée un atelier d’engraissement de porcs en plein air. En 2018, c’est une nouvelle étape : Florian les rejoint en tant que salarié. L’équipe développe les plats cuisinés.

Le crédo de l’équipe : des plats tout bons, tout bio et tout prêts !

Toute la viande, les céréales et la majorité des légumes sont produits sur la ferme en agriculture biologique. La ferme est entièrement autonome : les bovins sont nourris à l’herbe, aux céréales et au foin des prairies, les veaux sont en contact permanent de leur mère et nourris au lait maternel à volonté, les porcs sont élevés en plein air et nourris aux céréales et légumes de la ferme.

Servi oeufs - Tanagra

Servi Oeufs est une entreprise familiale spécialisée dans la distribution d'oeufs.

Elle collecte ses oeufs, sous la marque d'oeufs bio "Tanagra", dans les départements de la Haute-Garonne, l'Aude, l'Ariège, le Tarn-et-Garonne et l'Hérault.

Adresse: Varagnes, 81220 Serviès

Contact : 05 63 70 53 59

Terres du Mas Dieu

Les Terres du Mas Dieu est une entreprise qui se répartit sur deux lieux, chacune abritant deux productions différentes :

Les fruits et légumes d’été (Montpellier):

A l’origine de ce projet, c’est Félix qui a répondu à un appel à projet de la mairie de Montpellier recherchant un porteur de projet agricole. Situé près d’un hôtel 5 étoiles aux abords de Montpellier, le projet ne devait comporter ni serres ni bâtiments. Félix travaille en étroit partenariat avec la mairie qui entretient les abords des champs et le Domaine de l’hôtel qui lui prête du matériel. Félix a planté 1 200 arbres qu’il travaille en agriculture biologique, répartis comme suit : 1 hectare de pêches, 1 hectare de cerises, 2 hectares d’abricots. Pour pailler ses arbres, il cultive 3 hectares de céréales à Cornus. La production se fruits s’étale de mi-mai à mi-septembre.

Les olives (Castelnau-le-Lez) :

A l’origine de ce projet, dans les années 2000, l’idée du père de Félix était de s’opposer à un projet de déchetterie. Le projet voit le jour et Félix s’installe en 2009. Félix possède aujourd’hui 21 hectares attenants en agriculture biologique. L’eau est issue d’un forage, des ruches peuplent la parcelle, Félix utilise du fumier de brebis en échange de pâturage.

La taille grossière est effectuée par une entreprise et Félix effectue lui-même les tailles demandant plus de précision. Il fait partie d’une CUMA pour le matériel. Le ramassage se fait à la main pour les olives vertes, avec une bâche posée au sol et un peigne pour les olives noires. Félix cultive au total 14 variétés selon leur destination (olives de bouche, olives d’huile,…).

La saison de l’olive s’étale d’octobre à novembre. Au départ, l’olive est verte, elle est destinée à devenir de l’olive de bouche « à croquer » (en seaux, assaisonnées,…). Puis elle mûrit et devient noire : elle est alors récoltée pour l’huile.

Afin d’être désamérisée, l’olive est trempée dans un mélange composé de soude. Ce procédé n’étant pas (encore) validé par le cahier des charges de l’agriculture biologique, l’olive n’a pas le label AB. Vous trouverez pourtant des olives avec le label, en magasin bio, car ces olives viennent d’Espagne ou d’Italie, pays dans lesquels le cahier des charges est différent. C’est un choix à Boxaqui d’avoir des olives françaises les plus proches de chez nous, avec une parfaite transparence sur les conditions de production.

La transformation :

  • une partie de sa production en jus via un transformateur.
  • une partie des tomates qu’il fait transformer en coulis et en ktechup
  • une partie des olives pour les purées d’olives, les olives de bouche en seaux ou assaisonnées sous vide et l’huile en bouteille.

Quelques chiffres : en 2019 Félix a produit 15 tonnes d’olives pour l’huile et 3 tonnes d’olives de bouche.

Biovalle - Juan & Cesar

Chez Biovalle, tout est une histoire de famille… pour maintenir la tradition. En effet, une partie de terres qui sont, aujourd’hui encore, cultivées par deux frères, Juan et César, ont été semées par leur grand-parent, Ocaña et Justa, au début des années 40.

C'est en 2012 que Biovalle est ainsi née. Aujourd'hui, César (Salamanca Ocaña), gère l’exploitation au quotidien et s’occupe tout particulièrement du recrutement, chaque année, de l’équipe saisonnière pour une durée d’environ 7 mois. Et là encore, il s’agit souvent de membres de leur famille ou d’amis proches. Juan (Salamanca Ocaña), quant à lui, a une formation de professeur de Biologie ainsi qu’un Master en Agriculture Biologique, et il se consacre pleinement à la ferme depuis leur passage en bio, il y a une dizaine d’années déjà. Il a délaissé l’enseignement, malgré sa formation, considérant que la reprise de ces terres familiales chargées d’histoire était une priorité et une vraie vocation !

Une production biologique et agroécologique : sur les 15 hectares qu’ils cultivent en bio, il y a plusieurs variétés d’oranges, allant des plus “classiques”, plantées il y a une douzaine d’années, aux plus traditionnelles, plantées par leurs grands-parents. Parmi ces dernières, la conservation d’une variété locale en voie de disparition (la Cadenera) est une priorité pour eux, afin de conserver une tradition qui leur est chère et de maintenir la biodiversité.

Le choix de l’agroécologie a été pour eux une évidence : augmenter et améliorer la fertilité des sols, maintenir et augmenter la biodiversité cultivée et naturelle, créer des emplois de qualité et autonomiser les producteurs, voilà leur crédo ! Cette vision intègre d’ailleurs, au-delà des connaissances écologiques et agronomiques, un facteur humain fondamental à leurs yeux. La création d’emploi et leur maintien, grâce à la reprise de la ferme, ainsi que les conditions de travail, sont centrales chez Biovalle.

De véritables choix pour leurs débouchés : César et Juan ne vendent que des fruits issus de leur exploitation évidemment. Les fruits sont cueillis à leur stade optimum de maturité car, à la différence d'autres fruits, une fois ramassées, elles ne mûrissent plus.

Voici une petite vidéo qui résume leur formidable démarche !

Brasserie d'Olt

Boissons produites localement (Saint Geniez d'Olt, Aveyron) en agriculture biologique.

Adresse : 16 ZA de La Salle, 12130 Saint Geniez d'Olt

Voir le site : ici

Contact : 05 65 52 75 03